L’Entretien D'Embauche De La Gourgandine

Quelques jours après mon après-midi au campanile, je me rendais au bureau le matin pour l'entretien d'embauche planifié avec Olivier. Bien que connaissant assez mal le personnage, et cela, malgré nos expériences sexuelles communes, je savais qu'il était d'un caractère dominant, ce qui présageait ment de la façon dont il allait se comporter et donc générait ment un peu d'appréhension. J’avais mis pour cette occasion une robe en coton, d’un style chic et élégant de couleur bleu Marine unicolore qui m’arrivait au genou avec un col rond et des manches longues. La Coupe était ajustée et le bas de la robe était évasé avec des ourlets à volants pour une coupe régulière mais terriblement bourgeois. Sur le côté, gauche une série de boutons descendant le long de la robe me permettaient d'avoir un look sensuel, et raffiné, en attisant le côté pulpeux de mes formes de bourgeoise mature, sous-tendues par une impression d'accessibilité érotique.

J'avais fait réserver une petite salle de travail pour 2 personnes à l’étage de la section administrative, discrète et à l'abri des regards, craignant des écarts de comportement de la part d’Olivier. Je le fis accueillir par ma secrétaire qui l’accompagna jusqu'à la salle où il patienta quelques minutes. À mon arrivée, il se leva afin de me saluer de manière polie convenable et dans le respect des gestes barrières. Après un échange poli et banal sur la météo et le trafic urbain du matin, nous démarrions l’entretien qui à ma grande surprise resta très professionnel. Il se comportait comme si de rien n'était, m'expliquant son parcours ses motivations ces expériences diverses et divers projets sur lequel il travaillait. Ingénieur de formation, il avait notamment développé est commercialisé un certain nombre d'applications digitales. Notre échange dura plus d'une heure et je dois avouer que son comportement général, son attitude, me plaisait tout particulièrement dans le cadre d'un recrutement. Il était le candidat idéal au bémol près, de nos expériences précédentes.

Il était presque midi, et je décidais de mettre fin à l'entretien en lui promettant de reprendre contact avec lui dans les meilleurs délais après avoir débriefé de sa candidature avec mon mari.
Je me levais, mettant un terme à notre échange, et alors que nous étions tous les 2 devant la porte que je m'apprêtais à ouvrir, il me saisit par les épaules et à ma grande stupeur me poussa le dos contre la porte se ruant sur moi. Il m’attrapa par les cheveux, m’attira vers lui afin de m'embrasser plongeant sa langue entre mes lèvres, me bâillonnant, m’empêchant de manifester un quelconque mécontentement. De ma main droite, j'essayais de le repousser, mais il se saisit de mon poignet et attira mon bras derrière ma nuque alors que sa langue continuait à m'envahir. Il se saisit de mon bras gauche afin de l'immobiliser au-dessus de ma nuque tenant mes 2 poignets d'une seule main et alors qui me maintenait les bras, il continuait à m'embrasser, et cela, malgré la résistance dont j'essayais de faire preuve, mais qui était totalement inefficace. Sa main libre se plaqua sur ma robe attrapant mes gros seins qu'il se mit à palper avec frénésie. Il me pelota mes seins continuant à m'embrasser, alors que j'essayais de gesticuler en toute inefficacité. Il savait que je ne pouvais crier sans ameuter tout l'immeuble créant un scandale dont la honte m’éclabousserait irrémédiablement. Soumise, je me laissais faire.
- Ohhhh Patricia, tu me rends fou, j’ai trop envie de toi, laisse-toi faire.
- Olivier, s'il te plaît, arrête, je ne veux pas.
J’étais debout dans cette petite salle, maintenue par les mains fermes de mon agresseur qui profitait de mes formes pulpeuses et me malaxait mes gros seins au travers de ma robe. Il me soupesait les seins comme les pies d’une bonne vache laitière qu’on prépare à la traite. Sa langue plongeait dans ma bouche, jouant avec ma langue, tel le serpent vicieux qu’il était. Sa main se plaqua entre mes cuisses pour s’attaquer à mon entre-jambe, déclenchant immédiatement une réaction orgasmique que je manifestais en gigotant.
Il me palpa de manière animale, tout en alternant de sa main les caresses qui jouait avec ma poitrine et mon entre-jambe. Je pouvais sentir son excitation à ses yeux lubriques et aussi à la pression de sa main sur mon corps offert. Il me retourna ensuite me poussant face à la porte, se collant contre mon dos. Il plaqua mes mains sur la porte, de sa main droite me bâillonnant la bouche alors que sa main gauche déboutonnait quelques boutons de ma robe et passait en dessous me saisissant ma grosse poitrine juste protégée par mon soutien-gorge Lise Charmel. Il m'embrassa dans le cou tout en continuant ses caresses animales sur ma poitrine malmenée. Sa main droite descendit ensuite le long de mon corps soulevant ma robe révélant un porte jarretelle d'un chic absolu pour ensuite passer en dessous de mon string se saisissant de mon sexe à pleine main. Alors qu'il me malaxait la chatte, il libéra son sexe baveux le frottant contre ma robe, laissant des traces blanchâtres sur ma robe en coton tellement bourgeoise.
- Oui, bouge ton corps ça m'excite de te voir comme ça, tu aimes que je te palpe comme une folle. Tu sens mes grosses mains pétrir tes grosses mamelles.
- Non, Olivier, arrête s’il te plaît, tu me rends folle, quelqu’un va nous surprendre, s’il te plaît, pas ici.
- J'ai trop envie de toi, il faut que je te baise tout de suite, je suis sûr que tu en meurs d'envie. Dis-le-moi ! Allez dis-le moi, je veux t'entendre !
- Oui, j'ai envie de toi, je veux que tu me prennes, je veux que tu me baises, mais s'il te plaît, pas ici. Sortons pour le déjeuner et tu pourras me faire ce que tu as envie.
- Alors va chercher tes affaires et viens avec moi, je vais trouver un endroit tranquille pour le déjeuner.
Toujours plaqué contre la porte, sentant ses mains parcourir mon corps, j'acceptais finalement sa proposition. Je lui proposais de le retrouver dans le parking du sous-sol afin de récupérer sa voiture et de trouver un endroit discret. Tandis que j'essayais de réajuster ma tenue et de reboutonner ma robe, il continuait à me palper les fesses alors que sa langue jouait avec mon cou.
Il avait réussi en quelques minutes à me faire basculer vers un profond besoin sexuel, tout d'abord en me contraignant et ensuite en éveillant ce désir et besoin irrésistible de me faire posséder et soumettre. Je pris quelques instants pour reprendre mon souffle avant de du bureau, lui se dirigeant vers le parking, et moi pour récupérer mes affaires et informer mon assistante que je partais pour la période du déjeuner. Je le retrouvais quelques minutes plus tard dans le parking. Il avait garé son Land Rover Discovery à l'écart dans un endroit tranquille où il m'attendait patiemment. Je montais dans la voiture et avant même que je puisse prononcer une parole, il m'attrapa par les cheveux et m’attira vers lui pour m'embrasser avec passion. Sa langue avait plongé entre mes lèvres et jouait avec la mienne comme un serpent maléfique, gourmand et lubrique. Sa main gauche me tenait fermement par les cheveux alors que la droite, s'était plaquée sur ma poitrine voluptueuse qu'il recommençait à pétrir de manière frénétique. Il joua comme ça pendant quelques minutes avant de libérer son sexe bien dur et me pousser le visage vers son membre baveux.
- À chacun son entretien, maintenant, c’est à moi de jouer le recruteur, montre-moi que tu es une bonne candidate et fais-moi une démonstration de tes compétences
Je le prenais en bouche et me mis à le sucer, l'écoutant gémir et grogner, conséquence directe de mes caresses buccales.
- Ohhhhh oui quelle bonne suceuse tu es, oui vas-y continue, bouffe-moi bien ma grosse bite, profite bien des hors d’œuvres avant le plat de résistance, aujourd’hui, tu vas être juste pour moi… Oui continue comme ça… Tu es une bonne patronne toi, tu sais motiver tes équipes…. Ohhhhhh, tu vas réussir ton entretien d’embauche si tu continues comme ça…
Il mit le contact enfin de la voiture, et toujours en me tenant la tête par les cheveux entre ses jambes avec son membre dans ma bouche quitta le parking. Il me conserva dans cette position jusqu’à l’extérieur, ou il me releva enfin.

- -Je connais un endroit où on sera tranquille tous les deux, ce n’est pas très loin…
ssIl quitta la ville, et roula pendant une dizaine kilomètres, jusqu’aux abords d’une forêt. Il prit un chemin forestier et roula pendant quelques minutes jusqu’à une clairière isolée. Une fois la voiture arrêtée, il sortit du véhicule et m’entraîna avec lui sur la banquette arrière. J’allais donc me faire baiser par ce trentenaire dans sa voiture, sur la banquette arrière, un petit coup rapide, comme deux jeunes amoureux… Je n’objectais pas, bien que j’aurai préféré un endroit plus glamour et plus confortable, j’obtempérais, ayant trop envie de me faire prendre par ce mâle surexcité et surpuissant. Il me poussa vers l’intérieur et s’assit sur ma droite, me poussant à reprendre là où je m’étais arrêtés dans le parking. Il me remit son gros sexe dans ma bouche, me reprenant mes gros seins à pleines mains toujours me tenant fermement par les cheveux. Il déboutonna à nouveau le haut de ma robe et libéra mes gros seins, les malaxant au travers de mon soutien-gorge Lise Charmel. Son sexe coulissait entre mes lèvres me baisant la bouche avec vigueur et sauvagerie. Il me poussait la tête afin de lui avaler son sexe au plus profond de ma gorge, alors que ma salive dégoulinait de toute part à la suite de cet sexuel. Il se déchaîna entre mes lèvres tout en soupesant mes gros nichons qu’il avait finalement libérés de mon soutien-gorge corbeille baissant avec force les balconnets de ce modèle Orchidée Beauté Écru de couleur nacre. Je continuais cette fellation pendant de longues minutes avant qu’il me libère les lèvres de son membre.
- C’est bien ma belle, tu es une bonne butineuse, une vraie bouffarde, dis-moi ce que tu veux que je fasse maintenant.
- Prends-moi, baise-moi vite, je veux ton gros sexe entre mes cuisses.
- Hummmm, tu es une gourmande toi, ton mec m’avait prévenu, mais avant, j’ai envie de te bouffer la chatte…
Il me bascula en arrière me couchant sur le dos, me relevant la jupe pour faire apparaître mon magnifique porte-jarretelles. Fasciné par la vue de mes dessous et mon look de bourgeoise chic et perverse, il me caressa la chatte au travers la dentelle pendant quelques instants. Sa main plongea en dessous de mes bas me malaxant la cuisse, surexcité par le contact avec le nylon de mon bas.
- Hummmm, tu es aussi belle dessous que dessus, c’est pour moi que tu t’es faite aussi ravissante
- Oui, j’avais envie que tu me baises aujourd’hui…
- Quelle magnifique bourgeoise que tu es, jamais vu une aussi belle mature, regarde comme tu m’excites…
- Prends-moi maintenant, je veux ta grosse bite entre mes cuisses, viens vite en moi…
- Attends-je vais te bouffer la chatte d’abord.
Il resserra mes jambes l’une contre l’autre et me bascula vers l’arrière afin de plonger son visage entre mes cuisses. Alors qu’il me tenait fermement, je sentis sa langue plonger dans ma chatte, qu’il poussa au plus profond. Il me léchait les parois au travers de cette caresse bucco-génitale m’offrant une large gamme de sensation et qui me conduisait tout doucement vers un premier orgasme. Il me mangeait, le clitoris qui devenait ultrasensible stimulait par sa salive qu’il utilisait tel un lubrifiant.
- T’aime-te faire bouffer la chatte, dis-le-moi, je veux t’entendre le dire comme une vraie cochonne.
- Oui, c’est bon, tu me fais jouir, je suis ta gourgandine et je veux que tu me prennes.
- Gourgandine !!!! C’est vrai que ça te caractérise plutôt bien, mais je veux t’entendre dire des mots cochons, allez vas-y.
- Oui, broute-moi la chatte, bouffe-moi le minou, fourre-moi comme une oie…
- Oui, c’est bien dis-moi ce que tu es, je veux t’entendre.
- Je suis une grosse pute, une salope, une cochonne qui aime se faire défoncer…
Il continua comme ça pendant de longues minutes m’obligeant à lui parler, à lui dire des choses horribles… Il alternait sa langue avec ses doigts qui me fouillait les entrailles, poussant parfois jusqu’à 3 doigts entre mes cuisses dégoulinantes de plaisir. Alors que sa langue explorait mes parois vaginales, je la sentis descendre vers mon petit trou dans lequel il plongea son doigt tout en me léchant l'orifice. Il me doigta et me suça l'anus pendant quelques minutes, toujours tenant mes jambes fermement à la perpendiculaire de mon bassin. Surexcité par cette caresse buccale et ce toucher rectal, je gigotais mon corps tout en gémissant de plus en plus fort
- Caresse-toi tes gros seins et bâillonne-toi la bouche pendant que je te suce ma gourgandine.
- Hummmmmmm, Hummmmmm, Hummmmmmm, Ohhhhhhhh
Je lui obéissais, et de ma main gauche caressais mes gros seins alors que j'avais plaqué ma main droite sur ma bouche afin d'atténuer le bruit de ma respiration et de gémissements. J’étais comme une folle, hystérique quand un premier orgasme me déchira le corps… Alors que je m’étais écroulée sur lui, il se releva, pour se positionner au-dessus de moi. Il enleva deux autres boutons de ma robe, permettant de libérer mes deux gros seins entre lesquels il plaqua son gros pénis en érection crachant sa salive afin de mieux le lubrifier. Il serra sa bitte et se branla avec mes grosses mamelles. Son sexe coulissait, essayant de pousser son gland entre mes lèvres à chaque mouvement de hanches. Je pris mes seins à pleines mains et continuais à subir cet outrage qui m’apportait une nouvelle excitation grandissante.
- Oui, c’est bon comme ça, tes mamelles sont magiques, vas-y serre moi bien. Tu es une bonne laitière… Oui continue, tu as tous les atouts pour ce job ma belle, voilà ce que j’appelle en entretien réussi ma gourgandine !!!
Il continua cette caresse inter mammaire pendant plusieurs minutes, qui avait pour conséquence de salir ma robe laissant des traces blanchâtres sur le coton bleu. Il menait les opérations, tout en prenant garde de ne pas laisser échapper sa verge de cet écrin de chair. Pendant que je m’abandonnais à cette sensation torride, il jouissait du spectacle et de la dévotion que je portais à son sexe. J’étais hypnotisée par la vue de son sexe qui oscillait en phase avec les mouvements guidés par ses balancements de hanches, et qui accélérait à mesure que son excitation augmentait. Seuls tous les deux dans cette forêt, nous étions comme deux animaux se laissant aller à leurs plus bas instincts. Il allait ensuite me prendre dans sa voiture, moi la vulgaire gourgandine, m’écartait les jambes et me fourrer comme une oie, comme un patron vicieux abusant de la pauvre candidate qu’il reçoit en recrutement. Il me libéra de cette pression, pour s’asseoir sur la banquette, me relevant afin de me positionner sur lui.
- Allez ma belle mamie, tu as l’air épuisé, viens te reposer sur ta chaise à bascule.
Il releva à nouveau ma robe, et assit avec le dos appuyé contre la banquette, m’invita à m’asseoir sur son sexe, fièrement dressé. J’avais le dos contre son torse, les jambes serrées entre ses cuisses alors qu’il entamait de langoureux mouvements de va-et-vient de son bassin, afin de me pénétrer profondément dans un coït ultra-sensuel. Son sexe s'enfonça en moi alors que ses mains soutenaient fermement mes fesses et que je sentais son membre frottant mes parois vaginale postérieure et antérieure. Bien que dans une position passive, il était extrêmement actif m’apportant des sensations inédites, et sans relâcher son d'étreinte, il en profitait pour me caresser mes gros seins, mais également mon clitoris. Ses mains étaient partout sur mon corps alors que je m'égarais, le souffle court, dans cette position hautement érotique. Il accéléra son déhanchement me procurant des sensations brûlantes alors que son sexe explorait la totalité de mes zones érogènes, tout en me mordillant le lobe de l'oreille et en me chuchotant des mots de plus en plus cochons.
- ,,Continue à bouger ton gros derche sur ma bite, vas-y fais-moi une belle danse de gourgandine. J'adore voir tes grosses mamelles se balancer au rythme de mes coups de bite. Oui, encore ma cochonne montre-moi que tu es une bonne baiseuse. Une bonne candidate pour un poste de salope à plein temps. Vas-y parle-moi, je veux t'entendre.
- Oui Oui Oui !!!!! continue plus fort, tu me rends folle. Ohhhhhhhh j'adore que tu me prennes comme ça, traite-moi comme une cochonne, une grosse pute. Ouiiiiiiiii, Tu aimes baiser mon gros cul de bourgeoise en rut.
Dans cette position propice aux fantasmes, et du fait que je ne pouvais le regarder, j’étais à la merci de son déhanchement qui me procurait des sensations brûlantes. Il me pilonnait tel un marteau-piqueur coulissant entre mes cuisses alors que je m'étais abandonné entre ses bras toujours palpant ma poitrine généreuse et laiteuse. J'étais hystérique, dansant comme une adolescente pour sa première soirée en boîte de nuit et sous l'effet de l'alcool. Il sortait de temps à autre son sexe, afin de le frotter contre mon vagin, attisant encore plus mon désir et mon excitation, avant de me re pénétrer tel un animal. Il continua à me saccager l'entrejambe pendant de longues minutes, et alors que je sentais son d'éjaculation proche, il me bascula sur la banquette me couchant sur le côté. Sans attendre sa main plongea entre mes cuisses remplaçant son sexe toujours bien dur pour sûrement baisser en pression. Il me caressa la chatte avec douceur, contrastant avec la violence de sa pénétration précédente, me laissant un peu de répit afin de reprendre également mon souffle. Pendant qu'il me caressait, il se pencha sur moi afin de m'embrasser à nouveau avec passion, laissant nos langues se mélanger comme dans une valse érotique. Mon excitation et mon désir avaient atteint un niveau inégalé. J'étais haletante et gémissante, miaulant comme une chatte chaleur qui cherche son partenaire. Cette pause fut de courte durée avant que son sexe replonge en moi, profitant de ma position en cuillère et offrant une vue de premier choix sur ma croupe offerte. Il était debout à genoux et poussait son sexe au fond de moi. Il me tenait par mon porte-jartelles et reprit ses mouvements de hanches, me tirant par les cheveux afin de m’obliger à le regarder pendant qu’il me saccageait la croupe.
- Regarde-moi grosse pute pendant que je te baise. C’est ça que tu voulais, dis-le-moi, une bonne grosse queue en toi…
- Oui, ohhhh Oui, Ohhhhhh Oui, continue, prends-moi comme une chienne….
- Oui Salope, tu veux que je te palpe tes gros nichons laiteux
- Ohhhhh Oui, Hoooooooooo
Alors que de sa main droite, il me tenait les cheveux comme un jockey tient sa jument, sa gauche me palpait mes gros seins. J’étais défaite, au sens propre comme au figuré. Il me saccageait le corps, mais aussi ma tenue qui était froissée, tachée des traces de son sexe et de mes bas troués. Il me baisa dans cette position pendant plusieurs minutes, avant de m’entraîner à l’extérieur de la voiture me poussant contre un arbre. Alors que je lui tournais le dos, il me baissa ma culotte à mi-cuisse, m’appuyant légèrement sur les reins afin de me cambrer le dos. Debout croupe en l'air appuyée sur cet arbre, j'étais à nouveau à sa merci. Sa main me caressa mon gros cul de façon bestiale palpant mes fesses qui était à sa disposition.
- Tu sais que tu as été très vilaine ma petite gourgandine. Tu mérites une petite punition.
- Oui, j'ai été une vilaine fille punissez moi.
- Une belle bourgeoise comme toi avec un si bon gros cul, tu mérites une grosse fessée. Dis-moi que tu veux que je te claque ton gros cul.
- Oui, claquez-moi mes grosses fesses, je veux être punie.
Il m’appliqua une grande claque sur les fesses puis une autre, et encore une autre. Il me fessait avec violence et hystérie. Quand il s'arrêtait de me claquer le cul, c'était pour m’enfoncer un doigt ou 2 entre les cuisses et me doigter avec force.
- Je vais te rendre à ton mari avec le cul tellement rouge qu'il saura exactement où tu as passé ton après-midi. Dis-moi que tu aimes ça de te faire défoncer tes grosses fesses de bourgeoise.
- Oui continue je t’en prie de me claquer mon cul, encore, Hooooooo, Haaaaaaaaa, je suis ta salope fais-moi rougir les fesses.
Il continua cette séance punitive pendant plusieurs minutes, me tenant les cheveux de sa main droite, alors que sa main gauche anéantissait mon fessier rouge vif. Il me tira des cheveux vers l'arrière afin de m'embrasser plongeant sa langue une fois de plus entre mes lèvres.
- C'est bien ma belle, tu as été une bonne génisse, je vais te finir en levrette dans ton petit trou, pour ton dernier test d’entretien. Il faut que je vérifie tes compétences anales. Dis-moi que tu veux que je t’encule.
- Oui encore, Oui, Oui Oui, sodomise-moi, mets-moi ton sexe dans mon petit trou.
Il m’entraîna vers sa voiture et me poussa le haut du corps en levrette sur la banquette arrière, laissant mes jambes écartées à l’extérieur du véhicule. Ma robe, remontée sur le dos et mon string toujours baissé à mi-cuisse, lui laissait un accès direct à mon anus. Il enfonça tout d'abord son index afin de me dilater mon petit trou avant de plonger son sexe énorme au fond de mon cul. Il introduit son pénis doucement poussant contre mon sphincter, zone sûrement la plus douloureuse. Il s’arrêta laissant juste son gros gland en moi, avant de pousser en entier le reste de son membre me remplissant en entier et me donnant une sensation délicieuse. Les va-et-vient de son sexe stimulaient l’entrée de mon anus me faisant revivre cette sensation de remplissage de manière encore plus intense. Il accéléra et m’encula tel un animal faisant coulisser son sexe dans mon rectum pour le détruire. Il était comme un marteau-piqueur me démontant mon orifice tout en continuant à appliquer des claques sur mes fesses rouges vif. Il ressortait son sexe pour mieux me re pénétrer et continuait à me défoncer alors que j'avais abandonné toute idée de résistance ou de contestation subissant ses coups de hanches dans un état proche de l'évanouissement. Je ne pouvais plus compter le nombre d'orgasmes qui m'avait traversés le corps depuis que nous étions arrivés dans cette forêt, laissant faire mon violeur profiter dans cet assaut final et de ma croupe royale. Qu'allait-il faire ensuite, allait-il enfin jouir, où continuer à me faire enchaîner les orgasmes, jusqu’ à ce que je m'évanouisse définitivement. Il continua tel un robot, alternant entre mon anus et mon vagin, agrippé à mes cheveux comme pour mieux me monter alors que son autre main s’était glissée sous mes bas pour me caresser les cuisses, détruisant au passage le nylon.
- Bouge-moi ton gros cul, ma pute, tu as envie que je te finisse.
- Ohhhh, Olivier, j’peux plus gicle moi dessus, s’il te plaît…
- Tu veux que je te jouisse dessus, sur ta face de pétasse ou sur ton gros cul de morue.
- Sur mon gros cul, je veux ton sperme chaud sur mes fesses.
- Oui, c’est bien, continue à bien bouger, tu vas être une bonne patronne, je vais me plaire dans ta boite. Tu auras droit à ma bite tous les jours… Baiser ce gros derche tous les jours va être un vrai bonheur, dis-moi que tu en rêves…
- Oui, je veux que tu me baises dans mon bureau tous les jours… Oui continue, plus fort, Ohhhhhhhh
- En fait j’ai une meilleure idée je vais te laisser un souvenir pour l’après-midi.
Il sortit enfin son sexe, et au lieu de se vider sur mon gros cul, écarta mes bas, en tirant dessus, pour éjaculer sur ma cuisse, répandant la plupart de son sperme sous mes bas déchirés. Il m’en mettait partout me recouvrant de son jus bien chaud, avant de remettre mon bas en place irrémédiablement marqué par son liquide blanc. Je m’écroulais enfin sur la banquette, anéantie par cette baise improvisée, et totalement défaite alors qu’il essuyait son sexe baveux sur ma robe comme un animal faisaint son dernier marquage. Il me laissa me reposer sur la banquette, et reprit la route afin de me ramener au bureau. Je n’allais pas pouvoir retourner au bureau dans cet état, avec du sperme sur ma robe et mes bas déchirés, mais surtout avec cette sensation de bonheur intense de mettre fait prendre comme une vulgaire gourgandine dans une voiture

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